Comme elle l’avait annoncé dans la presse, la députée Isabelle Santiago (Socialistes, Val-de-Marne) a redéposé sa demande de commission d’enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance. Au-delà des membres de son groupe, cette résolution a été cosignée par des députés d’autres groupes, certains ayant été membres de la commission d’enquête précédente – dont les travaux avaient été interrompus au bout d’un mois en raison de la dissolution.
La députée Marianne Maximi (LFI, Puy-de-Dôme) a également déposé une proposition de résolution, elle aussi dans les mêmes termes que lors de la précédente législature.
Les « droits de tirage » des groupes (possibilité de d’obtenir de droit une commission d’enquête par session) s’ouvrent à compter du 1er octobre.